Depuis plus de 40 ans, les jeunes étudiants du Saguenay-Lac-Saint-Jean ont la chance et le loisir d’être encadrés par l’Association régionale du sport étudiant, qui s’appelle RSEQ depuis 2009. RSEQ signifie « Réseau du sport étudiant du Québec », qui a pour mission d’assurer la promotion du développement du sport et des activités physiques en milieu étudiant, de l’initiation jusqu’au sport de haut niveau.
Cette association favorise aussi l’éducation, la réussite scolaire ainsi que la santé des jeunes. Kevin Larivière est le directeur général ici dans la région et il est assisté par quatre coordonnateurs, soit M. Nicolas Menachi, qui est aussi agent de développement, Mme Stéphanie Tremblay, Mme Anne-Marie Fortin et M. Dominic Paquet (photo : au centre M. Kevin Larivière). M. Gino Roberge assure la présidence du Comité organisateur de la RSEQ.
Sept disciplines de sports sont offertes au primaire, onze au secondaire plus un Tournoi d’improvisation qui verra le jour en février prochain à la demande des établissements scolaires. La discipline du volleyball semble la plus populaire auprès des jeunes. Trente équipes du secondaire évoluent dans des ligues provinciales ou hors régions.
Bien que le sport collégial et universitaire soit géré par le RSEQ provincial, ici au Saguenay-Lac-St-Jean, nous avons la chance de travailler en étroite collaboration avec les cégeps de la région et l’UQAC pour divers dossiers et événements. Ces institutions ont d’ailleurs confié à la RSEQ la gestion de la ligue collégiale/universitaire, division 4, en hockey et en volleyball masculin afin de répondre aux besoins de leurs étudiants.
L’attitude des spectateurs demeure une priorité ainsi qu’un défi pour le réseau et les écoles de la région, alors qu’on demande aux parents que leur rôle soit d’encourager les jeunes. Critiquer un officiel, un entraîneur ou un joueur, va à l’encontre des valeurs prônées par le sport en milieu d’éducation. Aucune forme d’abus verbal, d’intimidation ou de comportement excessif n’est toléré.
Au niveau de l’arbitrage, la situation est fragile, car au football on a dû faire appel à des officiels de Québec pour toute la saison. Le challenge de garder les arbitres et officiels est grand, car ils doivent être encadrés dans un environnement sécuritaire.
Somme toute, des milliers d’élèves demeurent actifs grâce aux valeurs mises en place pour l’activité physique.
« L’échec n’est qu’une opportunité de recommencer la même chose, mais différemment! »