La démission de la mairesse et de six conseillers donne bien des maux de tête à la petite municipalité de Saint-André-du-Lac-Saint-Jean et des discussions sont toujours en branle à savoir si des élections partielles devront être tenues sous peu.
Sur le site de Légis Québec, on mentionne que si un poste vacant est constaté plus de 12 mois avant une élection générale, la municipalité doit tenir des élections partielles.
Selon un message publié sur ses réseaux sociaux, le conseiller municipal, Jean-Denis Martel, fait savoir que ce sont des visions divergentes qui ont mené à ces démissions de masse. Le Quotidien rapporte que la ministre des affaires municipales, Andrée Laforest, déplore le fait que personne n’ait demandé un accompagnement, puisqu’il n’y a plus personne à la direction de la municipalité.
Aucune décision n’a encore été prise du côté du cabinet de la ministre et c’est la Commission municipale du Québec (CMQ) qui adopte les résolutions afin de desservir les citoyens de Saint-André, sans qu’il s’agisse d’une mise sous tutelle.