Après Roger Blackburn et Michel Bergeron, ce fut au tour de Maxime Pépin-Larocque d’être présenté comme candidat, mercredi soir dernier, par l’Équipe du Renouveau Démocratique (ERD) au chantier du Père-Alex de Chicoutimi-Nord.
Natif de Chicoutimi, M. Pépin-Larocque s’est impliqué à titre de directeur général du Chinook de Chicoutimi de la Ligue de soccer élite du Québec, puis en tant que directeur général du Venturi Saguenay jusqu’en 2022. Celui qui convoite le district 7, détenu actuellement par le conseiller municipal Serge Gaudreault, entend bien revitaliser le secteur nord de Chicoutimi.
« J’aimerais améliorer la qualité de vie des citoyennes et des citoyens du district 7, en m’assurant que l’entretien des infrastructures actuelles soit garanti. Je travaillerai en étroite collaboration avec les organismes et les résidents du milieu. J’ai également été pompier volontaire pendant un an à St-Ambroise, donc la sécurité est très importante pour moi », dit-il.
La cheffe de l’ERD et candidate à la mairie, Christine Basque, s’est dit bien fière de présenter un troisième candidat.
« L’arrivée de Maxime Pépin-Larocque est une excellente nouvelle! Il est prêt à s’engager à mes côtés pour faire bouger les dossiers à Saguenay. En plus d’être un joueur d’équipe, son sens de l’organisation, sa vigilance, et sa rapidité à assurer les suivis en feront un partenaire fiable et efficace », se réjouit-elle.
Une vision claire
Maxime Pépin-Larocque, aussi diplômé en gestion, en administration et en animation en loisirs, a une vision claire des enjeux qui préoccupent les citoyens de Saguenay. Il est prêt à relever le défi qui l’attend s’il est élu, et entend bien apporter son expertise ainsi que son savoir faire afin de dynamiser les intérêts de la ville.
« J’aimerais travailler à repenser notre ville. Améliorer la communication entre la ville et ses habitants et assurer d’une saine gestion autant en ressources humaines, matérielles, logistiques et financières. Je mettrai tous mes efforts dans le développement de Saguenay, tant au niveau économique, sportif, social et culturel. J’ai à cœur l’environnement et le développement durable. Il faut aussi travailler à préserver tout ça au bénéfice des générations futures. »
Le respect étant prioritaire pour lui, c’est dans cet esprit que le père de deux jeunes enfants a rejoint les rangs de l’ERD.
« Ma vie dans le sport m’a confirmé qu’un regroupement de personnes motivées à atteindre un objectif et qui mettent au service du groupe leurs opinions, leurs expériences et leurs forces, c’est une formule gagnante », conclut-il.